ÉLECTIONS FÉDÉRALES 2023
Notre contribution et les enjeux de ces élections
Nous avons des idées: nous avons besoin de vous pour les réaliser!!!
Voici notre programme par valeurs: Humaniste, libre et progressiste
Sébastien Piguet – Liste N°2 PPVD
Souveraineté numérique
Coup de cœur du candidat
Points clés
- La souveraineté numérique est cruciale à mesure de notre dépendance croissante à la technologie.
- L’accès au code informatique assure la sécurité et la réparabilité de l’État.
- Les compétences locales sont nécessaires pour maintenir et sécuriser les infrastructures.
- Un État maître de ses infrastructures peut réagir en cas d’urgence et protéger sa population.
- Investir dans les compétences locales favorise l’économie régionale et renforce la souveraineté numérique.
Description courte
La souveraineté numérique est essentielle à mesure que la société dépend de la technologie. L’accès au code informatique assure la réparabilité et la sécurité de l’État en maintenant des compétences locales. Un État maîtrisant ses infrastructures peut répondre aux urgences, appliquer la loi, protéger la population et former une main-d’œuvre compétente. Investir dans des compétences locales, plutôt que dans des licences étrangères, répartit les coûts et stimule l’économie régionale. Les exemples de la Chine et des États-Unis montrent que cela renforce la souveraineté numérique, le développement durable et la sécurité. En somme, la souveraineté numérique repose sur l’accès au code informatique pour une sécurité et une efficacité accrues. L’investissement dans les compétences locales est rentable et protège contre les fuites de capitaux. Les États devraient s’en inspirer pour renforcer leur souveraineté.
Description longue
La souveraineté numérique revêt une importance croissante à mesure que notre société devient de plus en plus dépendante de la technologie. L’accès au code informatique joue un rôle crucial dans la garantie de la réparabilité et de la sécurité de l’exercice de l’État. En mettant à disposition le code source, l’État favorise le maintien des compétences techniques locales nécessaires pour réparer, ajuster et sécuriser les infrastructures.
Un État qui maîtrise ses infrastructures informatiques est capable de répondre de manière efficace aux situations d’urgence. Il peut également appliquer la loi de manière efficace chez lui et chez ses prestataires, tout en protégeant la population des abus. De plus, il est en mesure de garantir des formations efficaces pour développer une main-d’œuvre hautement compétente. Cette maîtrise permet également de créer un environnement favorable au développement d’un maillage d’entreprises compétentes et reconnues, bénéfique à la fois pour l’État et sa population.
Même si le choix de payer des personnes compétentes sur place, au lieu de licences étrangères, peut sembler moins économique à première vue, cela permet en réalité de mieux répartir les coûts. En investissant dans les compétences locales, l’argent circule à l’intérieur de la région sous forme de TVA et d’investissements, évitant ainsi les fuites de capitaux et des cerveaux vers l’étranger.
L’exemple des pays comme la Chine (CN) et les États-Unis (US) démontre l’efficacité de cet investissement dans les compétences locales. Plutôt que de verser des redevances à des entités étrangères, ces pays ont choisi de renforcer leurs capacités internes en investissant dans des talents locaux. Cette approche non seulement renforce la souveraineté numérique de l’État, mais favorise également un développement économique durable et un niveau élevé de sécurité numérique.
En conclusion, la souveraineté numérique repose en partie sur l’accès au code informatique, qui garantit la réparabilité et la sécurité des infrastructures. Un État maître de ses infrastructures peut répondre aux urgences, appliquer la loi efficacement, protéger la population, offrir des formations de qualité et créer un environnement propice au développement d’entreprises compétentes. Bien que l’investissement dans les compétences locales puisse sembler coûteux, il offre des avantages économiques et sécuritaires à long terme, tout en empêchant les fuites de capitaux et de cerveaux. Inspirés par les exemples de la Chine et des États-Unis, les États devraient privilégier cette approche pour renforcer leur souveraineté numérique.
Humaniste
Promotion de l’inclusivité et de l’égalité pour toute la population, sans discrimination, dans le respect de toutes les minorités
- Malgré la Constitution, des discriminations persistent dans la vie quotidienne.
- Une démocratie moderne doit inclure tous les individus; c’est pourquoi nous soutenons l’initiative pour l’inclusion.
- Le PPVD vise une équité complète pour tous, consolidant les acquis et instaurant un cadre légal inclusif.
- Les femmes et les métiers dit « féminins » restent sous-payés, malgré l’égalité de genre en loi.
- LGBTQIA+ : Les lettres du sigle représentent de réelles souffrances, en particulier pour les jeunes, avec des risques de suicide accrus.
Description courte
La Suisse proclame l’égalité, mais les discriminations persistent. Handicaps ignorés, inégalités de genre, obstacles pour les minorités, homophobie et transphobie enracinées. L’initiative pour l’inclusion propose un cadre légal fort. Le PPVD se tient aux côtés des marginalisés, consolidant les droits acquis. Les femmes sont sous-payées, malgré l’égalité de genre inscrite dans la loi. Le sigle LGBTQIA+ symbolise des sources de souffrance réelle, avec des jeunes en danger. Nous devons montrer que chacun a sa place ici, que nos enfants méritent mieux que la marginalisation et la souffrance.
Description longue
La Constitution suisse garantit une égalité de traitement entre tous les individus, sans discrimination. Si la loi va dans ce sens, on constate dans les faits que de nombreuses discriminations subsistent. Les installations inadaptées aux personnes en situation de handicap, la difficulté à trouver un emploi de cadre pour les femmes, les obstacles à l’embauche pour les personnes non-blanches ou l’homophobie et la transphobie quotidiennes solidement enracinées dans la plupart des individus sont autant d’exemples qui démontrent ce fait. Une démocratie moderne se doit d’inclure l’ensemble des individus dans son fonctionnement normal. L’initiative pour l’inclusion propose en ce sens un cadre légal renforcé. Toutefois, une pleine équité reste longue à acquérir et le PPVD s’engage à faire valoir les droits des individus qui aspirent à ne plus être considérés comme des citoyens secondaires. En consolidant les acquis actuels et en instaurant un cadre légal prenant en compte la multiplicité des profils individuels, le Parlement suisse doit se remplir de personnes informées et sensibles à la cause des minorités encore trop souvent ostracisées. Les femmes sont encore très méprisées dans le monde du travail. Les métiers vu comme majoritairement féminins, sont largement sous-payés, allant parfois jusqu’à l’abus pur et simple. Nous avons mis en place dans la loi l’égalité des sexes; il est temps de le mettre en pratique. Le sigle LGBTQIA+ comporte beaucoup de lettres, certes. Mais chacune de ces lettres, et bien d’autres, sont la source de souffrances, d’insultes, de mauvais traitements et d’ostracisation. Les jeunes particulièrement, qui s’identifiant à l’une de ces lettres ont de 2 à 5 fois, pour la sexualité, et 10 fois, pour la transidentité, plus de risque de se suicider selon STOP Suicide. Uniquement à cause du fait qu’ils ne s’identifient pas aux normes d’une société qui n’existe déjà plus. Elles ne sont donc pas à prendre à la légère. Nos enfants meurent et c’est à nous de leur montrer non seulement qu’il peuvent vivre, mais qu’ils ont leur place dans cette société qui sera bientôt la leur.
Rendre la santé accessible à tous, notamment en créant une caisse maladie publique et unique.
Points clefs
- Une caisse non axée sur le gain pourrait se concentrer sur la mutualisation des coûts, améliorant l’équité.
- Défis Actuels : Les primes en hausse et les problèmes de remboursement montrent les difficultés du système de santé actuel.
- Solutions Equitables : Le Parti pirate vaudois propose une caisse maladie publique pour remplacer les privées, s’appuyant sur les succès des modèles similaires.
- Efficacité du Public : Les assurances incendie illustrent que le modèle de caisse publique fonctionne, assurant des prix stables et des remboursements efficaces.
Description courte
Description longue
La multiplicité des caisses d’assurance-maladie pose problème, notamment en ce qui concerne le remboursement de certains traitements. Toutes n’acceptent pas de prendre en charge certains médicament contre le cancer ou autres maladies graves et chroniques comme la sclérose en plaques. Il en est allé de même avec les récentes modifications des règles de prise en charge des psychothérapies: certaines caisses ont remboursé les traitements sans discuter alors que d’autres les ont systématiquement refusé.
A l’heure où certains proposent de créer une assurance-maladie à deux vitesses, et où d’autres proposent de fixer une franchise de base à CHF 10’000.00, le Parti pirate vaudois propose une solution juste et équitable: remplacer les caisses-maladies privées par une caisse publique cantonale. Le système de la caisse publique a fait ses preuves: pensez à l’ECA pour l’assurance-incendie par exemple.Une caisse maladie publique aurait en outre l’avantage de réduire considérablement le démarchage téléphonique intempestif et de mettre fin aux interprétations à géométrie variable en garantissant une application uniforme de la LAMal, tant du point de vue des patients que des médecins.
L’instauration de cette caisse « unique » ne nuirait pas non plus aux assureurs privés, qui auraient toujours la possibilité de proposer des produits d’assurance. N’oublions pas que la LAMal interdit expressément aux assureurs de faire du profit avec les polices d’assurance-maladie obligatoire.
Le principe de la caisse d’assurance publique fonctionne avec les assurance incendie; les prix sont restés bas, les remboursements sont plus efficaces, on n’est pas harcelé toute la sainte journée, par téléphone et ne fait pas de publicité. Et pourtant ça marche.
L’intérêt financier nuit à l’efficacité de ces infrastructures publiques de première importance.
En commençant par redonner aux cantons leur capacité historique à fournir des assurances (et si les assurances privées ne peuvent pas suivre, c’est peut-être qu’elles ne servaient à rien depuis le début,
Rendre la santé accessible à tous, notamment en créant une caisse maladie publique et unique.
Points clefs
- Une caisse non axée sur le gain pourrait se concentrer sur la mutualisation des coûts, améliorant l’équité.
- Défis Actuels : Les primes en hausse et les problèmes de remboursement montrent les difficultés du système de santé actuel.
- Solutions Equitables : Le Parti pirate vaudois propose une caisse maladie publique pour remplacer les privées, s’appuyant sur les succès des modèles similaires.
- Efficacité du Public : Les assurances incendie illustrent que le modèle de caisse publique fonctionne, assurant des prix stables et des remboursements efficaces.
Description courte
Description longue
La multiplicité des caisses d’assurance-maladie pose problème, notamment en ce qui concerne le remboursement de certains traitements. Toutes n’acceptent pas de prendre en charge certains médicament contre le cancer ou autres maladies graves et chroniques comme la sclérose en plaques. Il en est allé de même avec les récentes modifications des règles de prise en charge des psychothérapies: certaines caisses ont remboursé les traitements sans discuter alors que d’autres les ont systématiquement refusé.
A l’heure où certains proposent de créer une assurance-maladie à deux vitesses, et où d’autres proposent de fixer une franchise de base à CHF 10’000.00, le Parti pirate vaudois propose une solution juste et équitable: remplacer les caisses-maladies privées par une caisse publique cantonale. Le système de la caisse publique a fait ses preuves: pensez à l’ECA pour l’assurance-incendie par exemple.
Une caisse maladie publique aurait en outre l’avantage de réduire considérablement le démarchage téléphonique intempestif et de mettre fin aux interprétations à géométrie variable en garantissant une application uniforme de la LAMal, tant du point de vue des patients que des médecins.
L’instauration de cette caisse « unique » ne nuirait pas non plus aux assureurs privés, qui auraient toujours la possibilité de proposer des produits d’assurance. N’oublions pas que la LAMal interdit expressément aux assureurs de faire du profit avec les polices d’assurance-maladie obligatoire!
Le principe de la caisse d’assurance publique fonctionne avec les assurance incendie; les prix sont restés bas, les remboursements sont plus efficaces, on n’est pas harcelé toute la sainte journée, par téléphone et ne fait pas de publicité. Et pourtant ça marche.
L’intérêt financier nuit à l’efficacité de ces infrastructures publiques de première importance.
En commençant par redonner aux cantons leur capacité historique à fournir des assurances (et si les assurances privées ne peuvent pas suivre, c’est peut-être qu’elles ne servaient à rien depuis le début,
Instaurer un revenu de base inconditionnel
Points clefs
- Adaptation à l’Automatisation : faire face aux changements de métiers dus à la robotisation.
- Écologie Urgente : un nouvel outil économique pour faire face à l’urgence climatique.
- Revenu de Base Inconditionnel (RBI) : Sécurité économique pour tous.
- Révolution Sociale : Remplace les assurances existantes, valorise l’engagement non rémunéré.
- Économie Verte et Sociale : Encourage modèles locaux et libère temps pour l’engagement, tout en incarnant la solidarité suisse.
Description courte
Face à l’urgence écologique, de nouvelles solutions s’imposent. L’automatisation et l’intelligence artificielle modifient profondément nos métiers et appellent à une adaptation légale. C’est là que le revenu de base inconditionnel (RBI) intervient, offrant une sécurité économique pour tous. Ce RBI ne se limite pas à l’économie, il révolutionne les assurances sociales en remplaçant des institutions existantes et en valorisant des activités non rémunérées. Il facilite également la transition écologique en favorisant des modèles de consommation locaux et en libérant du temps pour des engagements sociaux et familiaux. Le RBI incarne la solidarité suisse, offrant un nouveau chapitre à notre tissu socio-économique, répondant aux défis d’aujourd’hui et de demain.
Description longue
Remboursement des moyens de contraception par l’assurance-maladie de base
Points clefs
- TVA sur protections hygiéniques levée en 2022, mais contraception toujours chère.
- Argument « confort » remis en question pour la gestion des règles et la planification familiale.
- Absence de remboursement de la contraception en Suisse renforce inégalités de genre, contrairement à pays voisins.
Description courte
En 2022, la TVA sur les protections hygiéniques a été levée, mais la contraception demeure coûteuse. L’argument du « confort » pour justifier le coût de la contraception est remis en question, alors qu’elle concerne la gestion des règles douloureuses et la planification familiale. Le manque de remboursement de la contraception en Suisse impose un fardeau financier aux femmes et renforce les inégalités de genre. Dans de nombreux pays voisins, la contraception est remboursée, alors pourquoi pas en Suisse ? La concentration de la responsabilité contraceptive sur les femmes doit être abolie pour promouvoir l’égalité et l’équité.
Description longue
Si, depuis 2022, les protections hygiéniques ne font plus l’objet d’une TVA pour produits de luxes, la contraception reste outrageusement chère. L’argument du « confort » ne tient plus: est-ce vraiment du « confort » de vouloir ne plus souffrir chaque mois de ses règles douloureuses ? Est-ce vraiment un « confort » que de vouloir maitriser sa fertilité et choisir de faire des enfants?
Nous trouvons incroyable que la contraception ne soit toujours pas remboursée en Suisse: outre l’absurdité évidente de l’argument du « confort », cela fait peser un poids énorme sur les épaules des femmes. Celles-ci doivent bien souvent payer elles-même leur contraception et subir parfois des effets secondaires pénibles. Cela renforce malheureusement les inégalités entre femmes et hommes.
Le remboursement de la contraception est une évidence dans la plupart des pays qui nous entourent: pourquoi ne l’est-ce pas en Suisse ?
Il est incroyable qu’aujourd’hui la plus grande partie de la contraception soit concentré sur les épaules des femmes. Cela fait partie des éléments qui sont à abolir pour renforcer l’égalité et l’équité de traitement entre les femmes.
Remboursement des moyens de contraception par l’assurance-maladie de base
Points clefs
- TVA sur protections hygiéniques levée en 2022, mais contraception toujours chère.
- Argument « confort » remis en question pour la gestion des règles et la planification familiale.
- Absence de remboursement de la contraception en Suisse renforce inégalités de genre, contrairement à pays voisins.
Description courte
En 2022, la TVA sur les protections hygiéniques a été levée, mais la contraception demeure coûteuse. L’argument du « confort » pour justifier le coût de la contraception est remis en question, alors qu’elle concerne la gestion des règles douloureuses et la planification familiale. Le manque de remboursement de la contraception en Suisse impose un fardeau financier aux femmes et renforce les inégalités de genre. Dans de nombreux pays voisins, la contraception est remboursée, alors pourquoi pas en Suisse ? La concentration de la responsabilité contraceptive sur les femmes doit être abolie pour promouvoir l’égalité et l’équité.
Description longue
Si, depuis 2022, les protections hygiéniques ne font plus l’objet d’une TVA pour produits de luxes, la contraception reste outrageusement chère. L’argument du « confort » ne tient plus: est-ce vraiment du « confort » de vouloir ne plus souffrir chaque mois de ses règles douloureuses ? Est-ce vraiment un « confort » que de vouloir maitriser sa fertilité et choisir de faire des enfants?
Nous trouvons incroyable que la contraception ne soit toujours pas remboursée en Suisse: outre l’absurdité évidente de l’argument du « confort », cela fait peser un poids énorme sur les épaules des femmes. Celles-ci doivent bien souvent payer elles-même leur contraception et subir parfois des effets secondaires pénibles. Cela renforce malheureusement les inégalités entre femmes et hommes.
Le remboursement de la contraception est une évidence dans la plupart des pays qui nous entourent: pourquoi ne l’est-ce pas en Suisse ?
Il est incroyable qu’aujourd’hui la plus grande partie de la contraception soit concentré sur les épaules des femmes. Cela fait partie des éléments qui sont à abolir pour renforcer l’égalité et l’équité de traitement entre les femmes.
Mettre à disposition de la population des distributeurs de produits d’hygiène de première nécessité (i.e. protections hygiéniques menstruelles, dentifrice, savon, etc.)
Points clefs
- Besoins Fondamentaux : Accès équitable à l’hygiène, comme aux toilettes.
- Retours Positifs : Écoles et universités fournissant des protections menstruelles, un succès.
- Santé et Prévention : Réduction des coûts de santé, prévention des problèmes dentaires et maladies.
Description courte
Imaginez des toilettes sans papier toilette, impensable non ? Et les protections menstruelles ? Chacun devrait avoir accès à l’eau, au savon, aux préservatifs et aux protections menstruelles. Ces besoins essentiels peuvent être facilement fournis dans les lieux publics. Les retours positifs des écoles et universités qui fournissent des protections menstruelles montrent un impact évident. De plus, cela pourrait réduire les coûts de santé à long terme en limitant des problèmes dentaires et en encourageant la prévention des maladies. La distribution de ces produits cruciaux peut être optimisée par des distributeurs, comme c’est déjà le cas pour le savon ou le gel hydroalcoolique pendant la pandémie.
Description longue
Imaginez des toilettes sans papier toilette… Alors pourquoi sans protections menstruelles ? C’est une aberration. Tout le monde devrait avoir accès à de l’eau, du savon, du dentifrice, des préservatifs ou encore des protections menstruelles.
Ces biens de première nécessité sont peu couteux et pourraient facilement être mis à disposition dans des lieux publics stratégiques. Si la pandémie nous a rappelé une chose, c’est que l’hygiène sauve des vies.
Les retours très positifs suite à la mise à disposition dans les écoles publiques et les universités de plusieurs cantons, de protections menstruelles dans les WC devraient nous inspirer à proposer la distribution d’autres produits du même acabit.
Les répercussions, à moyen terme, sur les couts de la santé seraient non négligeables: beaucoup de maux de dents peuvent être évités par un brossage régulier. L’importance du préservatif dans la prévention des maladies sexuellement transmissibles n’est plus à démontrer.
Le gaspillage pourrait être limité par la mise en place de distributeurs, à l’instar de ce qui se fait déjà pour le savon ou les protections hygiéniques.
Libre
Défense de l’état de droit dans le domaine du numérique et protection de la vie privée
Mots clefs
Description courte
Description longue
Fair Use: Garantir la liberté de s’exprimer, de parodier, de critiquer dans un usage raisonnable (Fair use)
Mots clefs
Fair Use : https://fr.wikipedia.org/wiki/Fair_use
- Faire du Fair Use un droit à part entière
- Définir des règles précises pour l’utilisation équitable
- Empêcher les poursuites légales abusives
- Informer le public et les créateurs de leurs droits
Description courte
Description longue
Fair Use: Garantir la liberté de s’exprimer, de parodier, de critiquer dans un usage raisonnable (Fair use)
Mots clefs
Fair Use : https://fr.wikipedia.org/wiki/Fair_use
- Faire du Fair Use un droit à part entière
- Définir des règles précises pour l’utilisation équitable
- Empêcher les poursuites légales abusives
- Informer le public et les créateurs de leurs droits
Description courte
Description longue
Mise à disposition de toutes les données publiques (OpenData)
Points clefs
- Les données publiques financées par les contribuables doivent être accessibles
- État, entreprises et particuliers devraient tous pouvoir utiliser ces données.
- L’engagement fort à l’echelon fédéral pourraient encore améliorer l’accès aux données des cantons et des communes
- Les données doivent être utilisables pour l’innovation, les recherches et l’histoire, sans difficultés d’accès.
Description courte
Actuellement, les données financées par nous, les contribuables, sont accessibles, mais sans normes claires d’accessibilité. C’est là que ça coince. Tous, État, entreprises, individus, devraient pouvoir consulter et exploiter ces données. Certains cantons ont déjà dit oui à l’OpenData, mais une poussée fédérale est nécessaire. Ces données sont des mines d’infos pour tous : startups, recherches scientifiques, journalistes et passionnés. Pour ça elles doivent être consultables et surtout exploitables grâce à un format bien pensé. L’argent du peuple, des données pour le peuple, toujours accessibles, sans casse-tête de recherche
Description longue
Si la loi actuelle prévoit déjà une mise à disposition des données publiques, produites avec l’argent du contribuable, elle n’impose en revanche aucun standard d’accessibilité. La participation à la plateforme déjà existante est donc une nécessité, tout autant qu’une standardisation de format de publication. Cela doit permettre à tout organisme de l’État, mais aussi aux entreprises et aux particuliers, de consulter et utiliser ces données. Si quelques cantons et communes ont déjà rejoint l’OpenData dans cette optique, une impulsion fédérale par le biais d’une réglementation et de pratiques appropriées permettrait d’améliorer la situation. La mise à disposition de telles données doit offrir des informations factuelles à qui les souhaite ou en a besoin, que ce soit pour bâtir une nouvelle entreprise, pour effectuer une étude scientifique ou pour consulter des archives historiques. Ces informations doivent être non seulement consultables, mais également utilisables grâce à un format de publication adéquat. Les données produites avec l’argent de la population doivent en tout temps être accessibles à cette même population, sans que le simple fait de trouver ces données soit un défi en lui-même.
Interdiction de l’usage de la reconnaissance faciale et surveillance de masse sur le domaine public.
Points clefs
- Surveillance Inquiétante : La reconnaissance faciale est devenue un outil de surveillance de masse, attirant l’attention des élus sécuritaristes.
- Faiblesses Évidentes : Les études de faisabilité révèlent des problèmes récurrents dans la technologie.
- Précision Limitée : L’efficacité est faible, avec une précision souvent exagérée, surtout pour des origines ethniques différentes.
- Coûts Énormes, Effets Négatifs : Stockage coûteux et effets sur la santé mentale soulignent les défauts de la reconnaissance faciale.
- Éthique en Question : Ces questions vont à l’encontre des droits de l’homme et posent des dilemmes éthiques, notamment en Suisse.
Pour plus d’informations, consultez la page de l’initiative cantonale vaudoise : https://reconnaissancefaciale.ch/argumentaire.
Description courte
L’efficacité de la reconnaissance faciale est sujette à des doutes, liée à la qualité de l’ensemble d’apprentissage de l’algorithme. Les paramètres variables pour l’identification aboutissent à des résultats peu précis dans la réalité. Les biais raciaux accentuent les erreurs, perpétuant des préjugés dépassés. Utilisée par certains gouvernements pour des motifs sécuritaires, cette technologie soulève des questions profondes. Alors qu’elle est mise en œuvre dans des pays totalitaires comme la Chine, des inquiétudes quant à un système de crédit social émergent. Cependant, les études de faisabilité exposent les faiblesses de ces systèmes. Sans compter les coûts financiers et écologiques, ainsi que les effets négatifs sur la santé mentale et les droits de l’homme, soulèvent des inquiétudes majeures. L’IA, présentée comme un outil, manque souvent d’encadrement légal.
Description longue
La reconnaissance faciale est un outil de surveillance de masse dont l’utilisation par l’État fait saliver les élus les plus sécuritaristes. La technologie commence d’ailleurs à être mise dans des pays totalitaristes comme la Chine, apportant de l’eau au moulin aux partisans d’un système de crédit social. Or, l’ensemble des études de faisabilité démontrent toutes les mêmes faiblesses de ces systèmes.
L’efficacité de la reconnaissance faciale est faible et dépend fortement de l’échantillon d’apprentissage utilisé pour entraîner l’algorithme. Les paramètres utilisés pour identifier un individu sont très variables et offrent une précision d’identification d’un individu uniquement au cinéma. Ceci est d’autant plus que les outils de reconnaissance perdent en efficacité lorsque l’origine ethnique ou la couleur de peau des personnes analysées est différente de la base de donnée utilisée, ce qui contribue à perpétuer des préjugés raciaux dépassés. Ceci implique un taux d’erreur élevé et donne lieu à de nombreux faux positifs, avec tous les problèmes humains et juridiques qui en découlent.
Les coûts financiers et écologiques de fonctionnement d’une telle technologie sont énormes, puisque de gigantesques bases de données d’images doivent être stockées et en permanence accessible. La puissance de calcul nécessaire au traitement des données récoltées est également monstrueuse, surtout si elle doit fournir des résultats en temps réel. Tout cela relègue en réalité la reconnaissance faciale à de la science fiction qu’il est impossible de déployer de manière fonctionnelle à grande échelle. Il faut se rappeler que l’intelligence artificielle, aujourd’hui vendue comme un outil, n’est en réalité qu’un champ de recherche encore balbutiant dont les résultats échappent la plupart du temps à tout cadre légal.
Il faut également prendre en compte les effets négatifs largement constatés scientifiquement sur les populations soumises à une surveillance constante. L’explosion des cas de fragilisation de la santé mentale, l’altération du comportement sous forme de censure volontaire ou une baisse générale du bonheur ressenti sont largement documentés comme accompagnant la mise en place de tels outils de surveillance. Cela va directement à l’encontre de la Déclaration universelle des Droits de l’Homme et pose des problèmes éthiques majeurs, dont la Suisse et les coûts de la santé se passeraient bien. D’autres arguments et sources sont disponibles sur la page de l’initiative cantonale vaudoise contre l’utilisation des technologies d’identification faciales sur le domaine public : https://reconnaissancefaciale.ch/argumentaire.
Interdiction de l’usage de la reconnaissance faciale et surveillance de masse sur le domaine public.
Points clefs
- Surveillance Inquiétante : La reconnaissance faciale est devenue un outil de surveillance de masse, attirant l’attention des élus sécuritaristes.
- Faiblesses Évidentes : Les études de faisabilité révèlent des problèmes récurrents dans la technologie.
- Précision Limitée : L’efficacité est faible, avec une précision souvent exagérée, surtout pour des origines ethniques différentes.
- Coûts Énormes, Effets Négatifs : Stockage coûteux et effets sur la santé mentale soulignent les défauts de la reconnaissance faciale.
- Éthique en Question : Ces questions vont à l’encontre des droits de l’homme et posent des dilemmes éthiques, notamment en Suisse.
Pour plus d’informations, consultez la page de l’initiative cantonale vaudoise : https://reconnaissancefaciale.ch/argumentaire.
Description courte
L’efficacité de la reconnaissance faciale est sujette à des doutes, liée à la qualité de l’ensemble d’apprentissage de l’algorithme. Les paramètres variables pour l’identification aboutissent à des résultats peu précis dans la réalité. Les biais raciaux accentuent les erreurs, perpétuant des préjugés dépassés. Utilisée par certains gouvernements pour des motifs sécuritaires, cette technologie soulève des questions profondes. Alors qu’elle est mise en œuvre dans des pays totalitaires comme la Chine, des inquiétudes quant à un système de crédit social émergent. Cependant, les études de faisabilité exposent les faiblesses de ces systèmes. Sans compter les coûts financiers et écologiques, ainsi que les effets négatifs sur la santé mentale et les droits de l’homme, soulèvent des inquiétudes majeures. L’IA, présentée comme un outil, manque souvent d’encadrement légal.
Description longue
La reconnaissance faciale est un outil de surveillance de masse dont l’utilisation par l’État fait saliver les élus les plus sécuritaristes. La technologie commence d’ailleurs à être mise dans des pays totalitaristes comme la Chine, apportant de l’eau au moulin aux partisans d’un système de crédit social. Or, l’ensemble des études de faisabilité démontrent toutes les mêmes faiblesses de ces systèmes.
L’efficacité de la reconnaissance faciale est faible et dépend fortement de l’échantillon d’apprentissage utilisé pour entraîner l’algorithme. Les paramètres utilisés pour identifier un individu sont très variables et offrent une précision d’identification d’un individu uniquement au cinéma. Ceci est d’autant plus que les outils de reconnaissance perdent en efficacité lorsque l’origine ethnique ou la couleur de peau des personnes analysées est différente de la base de donnée utilisée, ce qui contribue à perpétuer des préjugés raciaux dépassés. Ceci implique un taux d’erreur élevé et donne lieu à de nombreux faux positifs, avec tous les problèmes humains et juridiques qui en découlent.
Les coûts financiers et écologiques de fonctionnement d’une telle technologie sont énormes, puisque de gigantesques bases de données d’images doivent être stockées et en permanence accessible. La puissance de calcul nécessaire au traitement des données récoltées est également monstrueuse, surtout si elle doit fournir des résultats en temps réel. Tout cela relègue en réalité la reconnaissance faciale à de la science fiction qu’il est impossible de déployer de manière fonctionnelle à grande échelle. Il faut se rappeler que l’intelligence artificielle, aujourd’hui vendue comme un outil, n’est en réalité qu’un champ de recherche encore balbutiant dont les résultats échappent la plupart du temps à tout cadre légal.
Il faut également prendre en compte les effets négatifs largement constatés scientifiquement sur les populations soumises à une surveillance constante. L’explosion des cas de fragilisation de la santé mentale, l’altération du comportement sous forme de censure volontaire ou une baisse générale du bonheur ressenti sont largement documentés comme accompagnant la mise en place de tels outils de surveillance. Cela va directement à l’encontre de la Déclaration universelle des Droits de l’Homme et pose des problèmes éthiques majeurs, dont la Suisse et les coûts de la santé se passeraient bien. D’autres arguments et sources sont disponibles sur la page de l’initiative cantonale vaudoise contre l’utilisation des technologies d’identification faciales sur le domaine public : https://reconnaissancefaciale.ch/argumentaire.
Conditions d’accueil humaines des tous les réfugiés sans distinction (Réfugiés climatiques ou sociaux) en respectant toutes les minorités
Points clefs
- La Suisse, réputée pour neutralité et solidarité, doit accueillir avec qualité.
- L’engagement humanitaire doit suivre les droits de l’homme et intégrer les minorités.
- La crise climatique augmente les réfugiés, la Suisse doit assumer sa responsabilité.
- Tradition d’accueil respectueuse des valeurs et du droit international essentielle.
- Chacun doit jouir de la liberté d’être soi-même dans un environnement respectueux.
Description courte
En Suisse, la tradition d’accueil et de solidarité est essentielle, mais récemment mise en doute par les conditions de vie des réfugiés. L’engagement humanitaire doit se conformer aux droits de l’homme et permettre l’intégration des minorités dans la société suisse. Avec l’augmentation des réfugiés climatiques, la responsabilité de la Suisse croît. La tradition d’accueil doit respecter les valeurs et le droit international, garantissant une hospitalité respectueuse pour tous.
Description longue
La Suisse fait grand cas de sa tradition d’accueil, mettant en avant ses valeurs de neutralité et de solidarité en tant que pays ayant donné naissance à la Croix Rouge, qui en reprend d’ailleurs les armoiries. N’en déplaise à certains extrémistes, cette tradition est chère au cœur de la population. L’accueil des réfugiés doit toutefois se faire avec un standard de qualité qui doit lui aussi mettre à l’honneur le savoir-faire suisse. Les récents et nombreux scandales des conditions d’hébergement des réfugiés en Suisse font cependant douter de la bonne volonté des gouvernements cantonaux, communaux et fédéraux de satisfaire à l’ensemble des traditions helvétiques. Ils semblent préférer rajouter une couche d’horreur au vécu de personnes ayant fui guerres, régimes totalitaires ou conditions climatiques extrêmes et dont le quotidien a déjà été marqué bien trop longtemps par la souffrance.
L’engagement humanitaire ne peut qu’être humaniste en respectant les conventions internationales, notamment les Droits de l’Homme. Les individus faisant partie de minorités doivent pouvoir sortir de la logique de peur dans laquelle ils ont été ancrés et pouvoir s’investir et s’intégrer au tissu socio-économique suisse le temps de leur exil forcé. Ceci est d’autant plus vrai que les raisons qui les obligent à quitter leurs pays sont souvent celles qui leur rendent la vie dure en Suisse : appartenance ethnique, orientation sexuelle, opinions politiques. À l’heure ou la crise climatique s’intensifie, il y a fort à parier que le nombre de réfugiés climatiques ne va cesser d’augmenter et que la Suisse va devoir fournir son lot d’efforts pour l’accueil de déplacés dont elle est en partie responsable.
La Suisse doit respecter sa tradition d’accueil en se conformant aux valeurs qui ont fait sa réputation tout en se conformant au droit international, garant d’une hospitalité respectueuse de chacun. Ce respect est la base fondamental qui permet à chacune et chacun de jouir de la liberté d’être soi-même sans en souffrir.
Progressiste
Protection des indépendants et, plus généralement, de toute personne au sein de la vie économique
Points clefs
- Les travailleurs indépendants et les petites entreprises sont souvent exclus des protections sociales accordées aux salariés.
- Il est primordial de réformer cette disparité et d’assurer un accès équitable aux protections sociales.
- Garantir une sécurité sociale pour tous est essentiel pour préserver la solidarité et l’équité économique.
Description courte
Les travailleurs indépendants et les petites entreprises sont souvent exclus des protections sociales accordées aux salariés, malgré leur contribution économique. La crise du COVID-19 a montré que ce n’est pas une situation acceptable. Il est temps de garantir l’accès équitable à la sécurité sociale pour tous.
Description longue
Aujourd’hui, si la société a jugé bon de protéger les salariés contre le chômage, l’absence d’emploi, la vieillesse et le handicap, ces protections sont largement absentes dans la vie des indépendants et des petits entrepreneurs. Si les abus des grandes entreprises et les revenus démentiels de leur dirigeants doivent heurter les consciences, les artisans, indépendants et PME qui font la richesse de notre pays ont toujours été bien loin de ces existences. Ceux-ci, exploités par une droite mercantile, méritent de profiter pleinement du système social. Même si celui-ci mérite qu’on s’attarde sur ses manquements (procédures dégradantes, insuffisances des fonds, nécessité de s’appauvrir, etc.) il a le mérite d’exister et comme l’a montré la crise COVID, beaucoup de gens ne sont pas correctement couverts, sans pour autant être des milliardaires abusifs. Nous militons pour que cela change. Gagner sa vie n’est pas un crime SAUF quand c’est au dépends des autres.
Protéger les droits humains acquis, y compris le droit à l’avortement, le mariage pour tous, etc.
Points clefs
- Contre les mouvements restreignant les droits humains, restons vigilants.
- Nouvelle forme de fascisme se cache derrière la prétention de protéger les libertés.
- Face à la montée des restrictions des droits des femmes, protégeons les droits fondamentaux pour tous.
Description courte
Préservons les acquis des droits humains, notamment le droit à l’avortement et le mariage pour tous, face à la montée des mouvements anti-woke et conspirationnistes. Restons vigilants contre l’exploitation égoïste de la liberté d’expression et la manipulation de la démocratie pour des intérêts personnels. Les récents revers concernant les droits des femmes aux États-Unis et en Europe de l’Est soulignent l’urgence de notre engagement. Nous nous tenons aux côtés de chaque individu, indépendamment de leur identité, en préservant leur dignité et leurs droits fondamentaux.
Description longue
Aujourd’hui des nouveaux mouvements apparaissent: anti-woke, conspirationnistes, libertariens. Ils défendent une nouvelle forme de fascisme destiné à « protéger nos libertés » non pas dans un but de les garantir pour tous, mais dans l’idée égoïste de ne pas avoir à rendre des comptes lorsqu’ils blessent ou mettent en danger un autre.
Pour lutter contre cette aberration il nous faut rester vigilants face à tous ceux qui ne se revendiquent du droit à la liberté de parole quand il faut faire taire ce qui les dérange et la démocratie tant qu’elle est inaccessible à ceux qui pensent autrement.
La montée de mouvements restreignant les droits des femmes aux Etats-Unis et en Europe de l’Est devraient nous inquiéter et nous inspirer à la prudence.
Nous nous engageons à protéger les droits fondamentaux de toute personne, quelle que soit sa nationalité, son identité de genre, sa couleur de peau, etc. Tout être humain est digne d’être protégé.
Protéger les droits humains acquis, y compris le droit à l’avortement, le mariage pour tous, etc.
Points clefs
- Contre les mouvements restreignant les droits humains, restons vigilants.
- Nouvelle forme de fascisme se cache derrière la prétention de protéger les libertés.
- Face à la montée des restrictions des droits des femmes, protégeons les droits fondamentaux pour tous.
Description courte
Préservons les acquis des droits humains, notamment le droit à l’avortement et le mariage pour tous, face à la montée des mouvements anti-woke et conspirationnistes. Restons vigilants contre l’exploitation égoïste de la liberté d’expression et la manipulation de la démocratie pour des intérêts personnels. Les récents revers concernant les droits des femmes aux États-Unis et en Europe de l’Est soulignent l’urgence de notre engagement. Nous nous tenons aux côtés de chaque individu, indépendamment de leur identité, en préservant leur dignité et leurs droits fondamentaux.
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Aujourd’hui des nouveaux mouvements apparaissent: anti-woke, conspirationnistes, libertariens. Ils défendent une nouvelle forme de fascisme destiné à « protéger nos libertés » non pas dans un but de les garantir pour tous, mais dans l’idée égoïste de ne pas avoir à rendre des comptes lorsqu’ils blessent ou mettent en danger un autre.
Pour lutter contre cette aberration il nous faut rester vigilants face à tous ceux qui ne se revendiquent du droit à la liberté de parole quand il faut faire taire ce qui les dérange et la démocratie tant qu’elle est inaccessible à ceux qui pensent autrement.
La montée de mouvements restreignant les droits des femmes aux Etats-Unis et en Europe de l’Est devraient nous inquiéter et nous inspirer à la prudence.
Nous nous engageons à protéger les droits fondamentaux de toute personne, quelle que soit sa nationalité, son identité de genre, sa couleur de peau, etc. Tout être humain est digne d’être protégé.
Rendre les transports publics gratuits en Suisse pour dynamiser l’économie et promouvoir la mobilité douce
Points clefs
- Interprétation restrictive de l’article 82 limitant la gratuité des transports publics malgré le soutien populaire des initiatives cantonales.
- Transports publics vitaux pour une mobilité durable face aux enjeux environnementaux et besoins croissants.
- Nécessité de mutualiser les transports pour une multimodalité efficace et accessible dans tous les environnements, urbains et ruraux.
Description courte
L’interprétation restrictive de l’article 82 de la Constitution fédérale limite la gratuité des transports publics malgré le soutien populaire des initiatives cantonales. Face aux enjeux environnementaux et aux besoins croissants de mobilité, les transports publics deviennent vitaux. Pour une mobilité durable, il est temps de mutualiser ces infrastructures, les rendant accessibles et efficaces dans les zones urbaines et rurales.
Description longue
Aujourd’hui, l’article 82 de la Constitution fédérale concernant les transports en commun est interprété dan sle sens d’une interdiction de la gratuité des transports en commun. Les initiatives cantonales,clairement plébiscitées par la population des cantons où elles ont été proposées, sont effacées par une lecture très restreinte de « la participation des usagers » à la structure indispensable que représente les transports publics.
Dans un monde où les transports personnels représentent plus d’un tiers de la fabrication de CO2 par l’humain, où les besoins de déplacement augmentent en même temps que la densité de la population, les transports publics deviennent une infrastructure essentielle.
Pour avoir cette multimodalité, la participation financière à la création et l’entretien de cette infrastructure doit changer. De la participation individuelle, qui ne soutient plus ces infrastructures depuis longtemps, il est temps de mutualiser les transports publics, de les rendre accessibles et efficaces, que ce soit dans les zones urbaines souvent bien desservies que dans les zones rurales où ils y ne brillent que par leur absence.
Redéfinir le droit du travail afin de favoriser la protection des salariés, assurer l’égalité salariale entre femme et homme et redynamiser le système des CCTs qui est la source de désagréments chroniques.
Points clefs
- Réformer le droit du travail pour protéger les salariés et promouvoir l’égalité salariale.
- Simplifier les règles en redynamisant les CCT pour une meilleure condition des travailleurs.
- Combler les lacunes pour les stagiaires en introduisant des rémunérations justes.
- Instaurer un salaire minimal pour éviter le dumping salarial.
- Agir concrètement pour prévenir les abus et renforcer l’intérêt collectif.
Description courte
Repenser le droit du travail en Suisse pour renforcer la protection des travailleurs, garantir l’égalité salariale et revitaliser les CCT. Malgré sa réputation de stabilité, notre droit du travail présente des failles, notamment dans l’égalité hommes-femmes et les conditions des stagiaires. La multiplicité des CCT complexifie la situation, et l’absence d’un salaire minimal universel peut mener au dumping salarial. Il est temps d’agir pour des changements concrets au lieu de rester pris dans des débats stériles, afin de prévenir les abus et favoriser l’intérêt général plutôt que les intérêts privés.
Description longue
La Suisse est un pays de paix sociale: nous ne connaissons pas de grèves à l’échelle nationale, mais seulement des mouvements isolés. Souvent envié à l’étranger, notre droit du travail est pourtant loin d’être idéal. Notre droit du travail permet encore de nombreuses inégalités: l’égalité entre femmes et hommes est par exemple loin d’être assurée. La loi fédérale sur l’égalité est peu appliquée et peu efficace: trop de femmes sont encore licenciées à leur retour de congé maternité.
Notre droit manque de bases solides pour protéger les droits et la santé des travailleurs en Suisse: la multiplicité des CCT et des règles qui en découlent complexifient cette protection et rend plus difficile une amélioration de la condition des travailleurs.
L’absence de salaire minimal universel pause aussi problème: il conduit le plus souvent au dumping salarial, particulièrement pour les travailleurs immigrés et les apprentis.
La condition des stagiaires, grande absente de la législation actuelle, doit aussi évoluer: fini les contrats de stage sans rémunération décente.
Ah le droit du travail, la conversation qui vous fait passer instantanément de sale communiste à salaud d’ultra-libéral… Cette vielle querelle de clocher à surtout profiter aux grands groupe, aux parachutes dorés et autres abus. Car tant que nous nous battons entre nous, nous ne nous battons pas contre les quelques intérêts privés mués par le seul appat du gain.
A force d’en parler, on ne fait jamais rien. Le marché du travail semble bien se porter en Suisse
Redéfinir le droit du travail afin de favoriser la protection des salariés, assurer l’égalité salariale entre femme et homme et redynamiser le système des CCTs qui est la source de désagréments chroniques.
Points clefs
- Réformer le droit du travail pour protéger les salariés et promouvoir l’égalité salariale.
- Simplifier les règles en redynamisant les CCT pour une meilleure condition des travailleurs.
- Combler les lacunes pour les stagiaires en introduisant des rémunérations justes.
- Instaurer un salaire minimal pour éviter le dumping salarial.
- Agir concrètement pour prévenir les abus et renforcer l’intérêt collectif.
Description courte
Repenser le droit du travail en Suisse pour renforcer la protection des travailleurs, garantir l’égalité salariale et revitaliser les CCT. Malgré sa réputation de stabilité, notre droit du travail présente des failles, notamment dans l’égalité hommes-femmes et les conditions des stagiaires. La multiplicité des CCT complexifie la situation, et l’absence d’un salaire minimal universel peut mener au dumping salarial. Il est temps d’agir pour des changements concrets au lieu de rester pris dans des débats stériles, afin de prévenir les abus et favoriser l’intérêt général plutôt que les intérêts privés.
Description longue
La Suisse est un pays de paix sociale: nous ne connaissons pas de grèves à l’échelle nationale, mais seulement des mouvements isolés. Souvent envié à l’étranger, notre droit du travail est pourtant loin d’être idéal. Notre droit du travail permet encore de nombreuses inégalités: l’égalité entre femmes et hommes est par exemple loin d’être assurée. La loi fédérale sur l’égalité est peu appliquée et peu efficace: trop de femmes sont encore licenciées à leur retour de congé maternité.
Notre droit manque de bases solides pour protéger les droits et la santé des travailleurs en Suisse: la multiplicité des CCT et des règles qui en découlent complexifient cette protection et rend plus difficile une amélioration de la condition des travailleurs.
L’absence de salaire minimal universel pause aussi problème: il conduit le plus souvent au dumping salarial, particulièrement pour les travailleurs immigrés et les apprentis.
La condition des stagiaires, grande absente de la législation actuelle, doit aussi évoluer: fini les contrats de stage sans rémunération décente.
Ah le droit du travail, la conversation qui vous fait passer instantanément de sale communiste à salaud d’ultra-libéral… Cette vielle querelle de clocher à surtout profiter aux grands groupe, aux parachutes dorés et autres abus. Car tant que nous nous battons entre nous, nous ne nous battons pas contre les quelques intérêts privés mués par le seul appat du gain.
A force d’en parler, on ne fait jamais rien. Le marché du travail semble bien se porter en Suisse
Suivre les avis du GIEC et de la communauté scientifique sur les enjeux climatiques et tendre à l’autonomie énergétique de la Suisse
Points clefs
- Dérèglement climatique indéniable, conséquences coûteuses.
- Mesures actuelles manquent d’ambition, risquent l’humain et l’économie.
- GIEC alerte, solutions peu suivies par politiques.
- Suisse doit changer habitudes, utiliser technologies propres.
- Décisions basées sur science, éviter lobbies, responsabilité collective.
Description courte
Le dérèglement climatique est incontestable, avec des conséquences coûteuses. Les mesures actuelles manquent d’ambition, mettant en danger l’humain et l’économie. Le GIEC alerte depuis longtemps, proposant des solutions peu suivies par les politiques. La Suisse doit agir pour ses descendants en changeant ses habitudes de consommation et en utilisant des technologies moins polluantes. Les décisions doivent reposer sur la science, éviter les lobbies et refléter une responsabilité collective.
Description longue
Le dérèglement climatique est une réalité que plus personne ne saurait désormais nier sans mettre sa propre crédibilité en jeu. La hausse de la fréquence des événements climatiques extrêmes a des conséquences de plus en plus coûteuses pour la faune, la flore, l’humain lui-même et l’économie. Pourtant les seules actions entreprises par les pouvoirs politiques restent dans une mesure toute helvétique et manquent d’une ambition indispensable pour avoir des effets concrets. La situation est une urgence, les mesures timorées, comme si le gouvernement cherchait à se protéger d’une tornade avec un paravent. Mais il ne faut pas oublier que le première victime du dérèglement climatique n’est autre que l’humain.
Le GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), alerte le monde sur la situation depuis le début des années 90. Il propose également de nombreuses mesures visant à faire diminuer l’impact de l’activité humaine sur l’environnement. Ces mesures, parfois reprises dans les revendications des mouvements écologiques, sont rarement suivies par les pouvoirs politiques, que ce soit pour des raisons économiques, idéologiques ou par paresse. Cette inaction coûte beaucoup à la société: déplacements de population, altération de l’agriculture, modification de la flore et de la faune locales, etc. Tout cela provoque de fortes dépenses dans les budgets publics.
L’expertise scientifique du GIEC doit permettre au gouvernement suisse de prendre des décisions rationnelles qui pourront participer à la diminution de notre empreinte globale. La Suisse doit profiter de sa position économique forte pour faire valoir les droits des humains à vivre sur une planète habitable, ce par la contrainte si nécessaire. Il en va de l’avenir que nous offrons à nos descendants.
Nos enfants et leurs enfants ont un droit inaliénable de pouvoir vivre dans des conditions décentes. Cela passe nécessairement par un changement de nos habitudes de consommation. En réduisant les trajets de transport de biens par la favorisation des produits locaux, en diminuant la part des énergies fossiles utilisées au quotidien et en éliminant les pertes d’énergie facilement évitables, nous préparons les générations futures à encaisser un choc moins violent que ce que les prévisions actuelles tendent à encore sous-évaluer encaisser un choc violent, que nous pouvons encore amoindrir.
Certes, les besoins énergétiques suisses continuent d’augmenter à mesure que le temps avance. Mais des actions pilotées par le gouvernement combinées à l’usage de technologies de production énergétique moins polluantes comme le nucléaire doivent permettre d’absorber cette croissance tout en limitant l’impact du train de vie suisse sur les conditions d’existence de l’ensemble de la biosphère.
Les décisions prises par le Parlement et le Conseil fédéral doivent se fier aux recommandations des conseils scientifiques et doivent par-dessus tout éviter de se laisser influencer par les lobbies industriels et par les nostalgiques d’une époque où le consumérisme effréné était un luxe qui paraissait acceptable un acquis . La liberté de chacun s’arrête là où commence celle des autres ; au-delà, cela devient de l’égoïsme dont seul un enfant capricieux est capable. Il va de la responsabilité de la Suisse de ne pas continuer à incarner cet enfant capricieux et de formuler plus que des vœux pieux dans notre politique énergétique.
Encourager l’épanouissement et le progrès de la société par un accès libre et gratuit à la culture et par une éducation qui prépare les jeunes au progrès technologique
Points clefs
- Cadre légal actuel restreint l’accès à la culture et favorise l’inculture.
- Refonte du droit d’auteur pour rendre la culture accessible à tous.
- Modèles de rémunération alternatifs montrent la voie du changement.
- L’éducation des jeunes et l’avenir de la société dépendent de la démocratisation culturelle.
- Nécessité d’éliminer les barrières financières pour construire un construit culturel varié.
Description courte
L’accès à des opinions variées et aux échanges entre pairs construit les individus, mais le cadre de propriété intellectuelle restreint l’accès à la culture. L’inégalité d’accès aux œuvres entrave la diversité culturelle et favorise la ségrégation. Une refonte du droit d’auteur est nécessaire pour s’adapter aux nouvelles technologies et rendre la culture accessible à tous. Les modèles de rémunération alternatifs montrent que le changement est possible. L’éducation des jeunes et l’avenir de la société dépendent de la démocratisation culturelle, sans contrainte financière.
Description longue
La construction de chaque individu se fait au travers de l’exposition à des opinions diverses et par des échanges avec des pairs. Or le cadre légal de propriété intellectuelle actuellement en vigueur pousse les jeunes générations à se tourner vers une inculture croissante par un manque d’accès non pas matériel, mais pécuniaire aux œuvres unanimement reconnues comme vecteurs de savoirs et de connaissances. Si les contenus à haute valeur culturelle demeurent financièrement inaccessibles à des individus n’ayant théoriquement aucun pouvoir d’achat, la critique de leur niveau culturel ne peut être raisonnablement qualifiée comme autre chose qu’une hypocrisie sociétale visant à une ségrégation de plus en plus marquée entre une ploutocratie abreuvée en culture et une majorité paupérisée dont les références restent irrémédiablement fixée dans une médiocrité imposée par un modèle de propriété intellectuelle hors de son temps.
C’est en effet à la société dans son ensemble que bénéficierait une refonte complète de droit d’auteur, qui n’est de toute façon plus adapté aux modalités d’accessibilité rendues disponibles par les nouvelles technologies. On constate en effet aujourd’hui que les artistes ayant une forte audience chez les jeunes se reposent sur des modes de rémunération alternatifs aux modèles du siècle dernier encore en vigueur. En dépoussiérant les lois régissant la distribution du contenu culturel par son affranchissement d’un mercantilisme protectionniste, la mise à disposition des œuvres culturelles à l’ensemble de la population telle que théorisée par les architectes de l’internet deviendrait une réalité effective et tangible.
L’avenir d’une société dépend de l’éducation de ses jeunes, qui sont laissés aujourd’hui seuls face à des contenus au potentiel artistique douteux imposé par des modèles économiques éculés. C’est un devoir que d’offrir la possibilité à chaque individu de bâtir son propre construit culturel, sans pour autant être limité par un pouvoir d’achat de plus en plus faible, voire inexistant.
Encourager l’épanouissement et le progrès de la société par un accès libre et gratuit à la culture et par une éducation qui prépare les jeunes au progrès technologique
Points clefs
- Cadre légal actuel restreint l’accès à la culture et favorise l’inculture.
- Refonte du droit d’auteur pour rendre la culture accessible à tous.
- Modèles de rémunération alternatifs montrent la voie du changement.
- L’éducation des jeunes et l’avenir de la société dépendent de la démocratisation culturelle.
- Nécessité d’éliminer les barrières financières pour construire un construit culturel varié.
Description courte
L’accès à des opinions variées et aux échanges entre pairs construit les individus, mais le cadre de propriété intellectuelle restreint l’accès à la culture. L’inégalité d’accès aux œuvres entrave la diversité culturelle et favorise la ségrégation. Une refonte du droit d’auteur est nécessaire pour s’adapter aux nouvelles technologies et rendre la culture accessible à tous. Les modèles de rémunération alternatifs montrent que le changement est possible. L’éducation des jeunes et l’avenir de la société dépendent de la démocratisation culturelle, sans contrainte financière.
Description longue
La construction de chaque individu se fait au travers de l’exposition à des opinions diverses et par des échanges avec des pairs. Or le cadre légal de propriété intellectuelle actuellement en vigueur pousse les jeunes générations à se tourner vers une inculture croissante par un manque d’accès non pas matériel, mais pécuniaire aux œuvres unanimement reconnues comme vecteurs de savoirs et de connaissances. Si les contenus à haute valeur culturelle demeurent financièrement inaccessibles à des individus n’ayant théoriquement aucun pouvoir d’achat, la critique de leur niveau culturel ne peut être raisonnablement qualifiée comme autre chose qu’une hypocrisie sociétale visant à une ségrégation de plus en plus marquée entre une ploutocratie abreuvée en culture et une majorité paupérisée dont les références restent irrémédiablement fixée dans une médiocrité imposée par un modèle de propriété intellectuelle hors de son temps.
C’est en effet à la société dans son ensemble que bénéficierait une refonte complète de droit d’auteur, qui n’est de toute façon plus adapté aux modalités d’accessibilité rendues disponibles par les nouvelles technologies. On constate en effet aujourd’hui que les artistes ayant une forte audience chez les jeunes se reposent sur des modes de rémunération alternatifs aux modèles du siècle dernier encore en vigueur. En dépoussiérant les lois régissant la distribution du contenu culturel par son affranchissement d’un mercantilisme protectionniste, la mise à disposition des œuvres culturelles à l’ensemble de la population telle que théorisée par les architectes de l’internet deviendrait une réalité effective et tangible.
L’avenir d’une société dépend de l’éducation de ses jeunes, qui sont laissés aujourd’hui seuls face à des contenus au potentiel artistique douteux imposé par des modèles économiques éculés. C’est un devoir que d’offrir la possibilité à chaque individu de bâtir son propre construit culturel, sans pour autant être limité par un pouvoir d’achat de plus en plus faible, voire inexistant.